27 octobre 2013
Soirée Proust Proust
Longtemps, je me suis couchée de bonne heure...
Et j'aurais mieux fait de continuer.
Là, warum, ich weiss nicht, le sommeil me fuit et j'ai allumé la lucarne et suis tombée sur "On n'est pas couché", justement.
Mais qu'il est pénible ce Ruquier ! Qu'est-ce qu'il est pas drôle ! Il m'évoque le Théâtre des Deux Anes et ses chansonniers ringards.
Des accents du camelot qui te vend l'épluche poivron révolutionnaire sur le marché, le vrai petit rasoir de tes légumes, et qui tient... t'en file 4 pour le prix d'1.
La voix forcée, outrée. Le gnarf gnarf qui s'amuse de ses propres pauvres blagounettes de Carambar.
Je suis anéantie... purée... y'a les Bogdanov en prime ! Au secours ! Je file au plumard ! Pourvu que je ne fasse pas de cauchemars.
Publicité
Publicité
Commentaires
L
W
B
L